Le groupe Plastiflex place la barre haut. Le producteur de tuyaux flexibles souhaite à terme fonctionner de manière entièrement circulaire. En collaboration avec les experts en durabilité de BDO, il a traduit cette ambition en un véritable programme de transition durable.

Le plastique ne s’est pas forgé une excellente réputation au cours de la dernière décennie. Pourtant, selon Piet Gruwez (CEO de Plastiflex), il ne s’agit pas du tout d’un mauvais matériau : « La pression sur l’utilisation du plastique concerne principalement le plastique à usage unique dans le secteur de l’emballage. La nécessité de créer des alternatives durables qui contribuent à réduire la quantité de déchets se fait de plus en plus ressentir. » Les autres segments de marché auxquels Plastiflex fournit des tuyaux en plastique devront également suivre le mouvement.

Le plastique ne s’est pas forgé une excellente réputation au cours de la dernière décennie. Pourtant, selon Piet Gruwez (CEO de Plastiflex), il ne s’agit pas du tout d’un mauvais matériau : « La pression sur l’utilisation du plastique concerne principalement le plastique à usage unique dans le secteur de l’emballage. La nécessité de créer des alternatives durables qui contribuent à réduire la quantité de déchets se fait de plus en plus ressentir. » Les autres segments de marché auxquels Plastiflex fournit des tuyaux en plastique devront également suivre le mouvement.

Plastiflex produit notamment des tuyaux pour aspirateurs, appareils électroménagers et applications industrielles ou médicales. Tous ces équipements ont une durée de vie longue. Piet Gruwez ne souhaite néanmoins pas attendre que ses clients fassent monter la pression. « Lorsque la nouvelle législation européenne relative à la publication d’informations non financières entrera en vigueur en 2023, notre entreprise sera non seulement prête à établir un rapport de manière adéquate, mais nous disposerons également d’une gamme de produits innovants que nous pourrons proposer à nos clients. » Cela implique d’utiliser des matières premières durables, de réduire notre consommation d’eau et d’électricité, de recycler les déchets et de les réutiliser pour fabriquer de nouvelles matières premières. « Nous réduirons ainsi considérablement les émissions de CO₂ avec pour objectif ultime de créer un circuit fermé. »

La mission du responsable de la durabilité consiste à traduire cette vision axée sur le développement durable en plan stratégique, puis de mettre ce dernier en pratique. Comment s’y prendre ? Une analyse objective effectuée par un expert ESG (Environnement, Social et Gouvernance) s’avère bien utile. Piet Gruwez a décidé de faire appel aux conseillers en développement durable de BDO. « Sur les trois sociétés candidates, ce sont le professionnalisme, l’enthousiasme et le discours de BDO qui nous ont le plus convaincus. Et j’ai été agréablement surpris par la passion des consultants de BDO. L’équipe se compose d’un mélange de professionnels expérimentés ayant une grande expérience du secteur et de plus jeunes collaborateurs à l’approche nouvelle. Nous avons pu compter sur leur méthode de travail pragmatique et disciplinée à chaque étape du projet. Malgré les délais parfois très serrés, les experts sont toujours parvenus à respecter les échéances convenues. La collaboration fut très agréable. »

En tant que producteur, il va de soi que la politique de durabilité de Plastiflex est axée sur l’écologie. Les aspects sociaux sont toutefois également cruciaux pour le groupe. « Beaucoup de nos collaborateurs travaillent par exemple dans des pays où les conditions de vie ne sont pas toujours comparables à celles de l’Europe. Plastiflex veut apporter sa contribution en fournissant de la nourriture en quantité suffisante, des vaccins et autres. »