Comment augmenter la valeur de votre entreprise ?
« La méthodologie Value Enhancement garantit des résultats tangibles. »
Le Covid-19 impacte fortement notre économie et remet en cause la viabilité de nombreuses PME. Pour survivre à la crise, pas d’alternative : il faut réduire les coûts, améliorer la productivité, adapter l’offre et optimiser les activités. Ces mesures augmentent non seulement la rentabilité de l’entreprise, mais aussi sa valeur. BDO a développé une méthodologie pratique qui garantit aux entreprises une croissance durable de leur valeur. Son nom : Value Enhancement.
Auteurs : Maxime Chalot, Senior Manager, Koen Claessens Partner BDO Advisory
Une petite ou moyenne entreprise sur cinq risque de tomber en faillite malgré les mesures de soutien apportées par les autorités. C’est l’un des enseignements tirés d’un récent rapport de la FEB (Fédération des Entreprises de Belgique). Le manque de solvabilité ou de réserves explique cette situation. « En outre, la crise du coronavirus a accéléré certaines évolutions – pensons à la numérisation –, ce qui implique que les entreprises risquent de décrocher parce qu’elles ne disposent pas des moyens ni de l’expertise nécessaires », expliquent Maxime Chalot et Koen Claessens. Ces deux experts chevronnés de BDO savent précisément où se situent les points sensibles de toute entreprise qui souhaite assurer sa continuité, sa croissance et son avenir en période post-Covid-19.
Qu’entend-on par « augmentation de valeur » ?
Maxime Chalot : « L’augmentation de valeur ne se traduit pas uniquement en résultats financiers. Elle a aussi trait à la manière dont une entreprise adapte sa stratégie en fonction des évolutions économiques qui impactent son activité. Avoir une idée de la valeur (réelle ou potentielle) de son entreprise constitue un instrument stratégique très utile. Des actions particulièrement ciblées peuvent être activées pour optimiser de manière durable l’entreprise. »
« Notre expert fait office de couteau suisse. Place aux actions concrètes plutôt qu’aux discours théoriques. » – Maxime Chalot, Senior Manager BDO Advisory
Quels leviers actionner ?
Koen Claessens : « Il en existe plusieurs. L’amélioration de la rentabilité est un facteur important. On peut aussi privilégier la vente (totale ou partielle) de l’entreprise, procéder à une restructuration, une extension ou une fusion, etc. La crise du coronavirus augmente la pression sur certains leviers comme les liquidités disponibles ou le contrôle de la dette. Pour maintenir ou augmenter leur valeur, de nombreuses entreprises veulent réduire les coûts, augmenter les processus et l’efficacité, se défaire de départements ou d’activités inadaptés à notre époque… Tout ce qui peut contribuer à sortir de la crise de manière positive peut être envisagé. »
Maxime Chalot : « Il est important de garder la tête froide, de ne pas prendre de décisions hâtives et surtout de rester en ligne avec les objectifs clés – ajustés ou non – de l’entreprise à long terme. Une bonne préparation représente la moitié du travail. Cela semble évident mais cet aspect est trop souvent sous-estimé dans la pratique. »
La crise actuelle offre-t-elle des opportunités ?
Maxime Chalot : « Avec une idée précise et correcte de la valeur de son entreprise, un dirigeant peut investir plus judicieusement. Dans la numérisation ou l’adaptation de son offre de produits/services aux besoins du client, par exemple. »
Koen Claessens : « Notre approche Value Enhancement repose sur 6 étapes dont le diagnostic à 360° (étape 1) constitue la base. Nous analysons l’entreprise et cherchons les moteurs de valeur spécifiques au sein de chacun de ses départements (stratégie, finance, IT, RH, gestion de l’innovation, gestion des produits, ventes & marketing, management…). Ce n’est que lorsque nous disposons d’un portrait fidèle de l’ensemble de ses activités (culture d’entreprise comprise) que nous pouvons identifier les principaux points à améliorer pour augmenter la valeur de l’entreprise (étape 2). En fait, nous procédons comme s’il s’agissait de travaux de rénovation à accomplir dans une maison. Avant d’entamer les travaux, on préfère connaître sa valeur. »
Maxime Chalot : « Nous remarquons que la contribution d’un partenaire indépendant (BDO en l’occurrence) permet d’objectiver le diagnostic. Une personne étrangère à la culture d’entreprise découvrira plus facilement des paramètres, agendas ou leviers cachés. Ce partenaire externe peut en outre faire appel à une vaste expertise multidisciplinaire pour analyser en profondeur tous les départements. »
« Je reste souvent étonné de l’énorme valeur ajoutée créée par de petites actions. » – Koen Claessens, Partner BDO Advisory
Le diagnostic ne reste-t-il pas souvent un « vœu pieux » ?
Maxime Chalot : « Bonne question. Comment traduire le diagnostic en actions concrètes qui se déploient dans les faits (étape 3) ? C’est la mission principale de notre (nos) expert(s). Nous sommes comme un couteau suisse ; les moyennes entreprises (souvent familiales) ne disposent pas toujours de l’expertise nécessaire en interne et l’opérationnel mobilise beaucoup de monde. En étroite concertation avec nos clients, nous déterminons quelles actions sont les plus à même de créer de la valeur, puis nous les intégrons dans un plan d’action pragmatique, concret, réalisable et mesurable, développé avec ou sans le soutien de nos experts dans les domaines organisationnel, stratégique, financier, juridique, fiscal, etc. Les grandes théories déconnectées de la réalité, non merci ! »
BDO est-il lié à la réussite du plan ?
Koen Claessens : « On pourrait dire que nos experts font partie temporairement de la direction et qu’ils agissent sur le terrain. Ils conviennent des objectifs à atteindre dans un délai de 6 à 12 mois (étape 4). Pour ce volet de la mission, nous lions effectivement notre sort (et notre rémunération) aux mesures décidées et aux effets concrets qui en résultent (étape 5). Nous sommes donc solidaires de nos clients. Et cela nous procure énormément de satisfactions. »
Maxime Chalot : « Rien ne fonctionne sans l’aide des collaborateurs de l’entreprise. Le soutien de tous les niveaux décisionnels est capital pour pérenniser le changement et ancrer la transformation dans la culture d’entreprise. D’où l’importance de vérifier, d’évaluer et de prévoir des feedbacks en permanence. Grâce à un outil d’évaluation intermédiaire ou final (étape 6), l’entrepreneur évalue si la détermination de la valeur fonctionne, et dans quelle mesure il peut s’en inspirer pour gérer son entreprise. »
Quels sont les principaux pièges à éviter ?
Maxime Chalot : « Tous les actionnaires doivent porter le projet. Si l’un d’eux ne participe pas ou ne s’implique pas suffisamment, les travailleurs choisiront eux aussi la solution de facilité, c’est-à-dire le statu quo. Le manque de communication pour expliquer le changement, indiquer clairement comment il s’intègre dans un plan à long terme ou balayer les critiques, hypothèque lui aussi les chances de réussite. »
Koen Claessens : « Il ne faut pas systématiquement bouleverser l’entreprise pour améliorer les choses. Il m’arrive encore d’être étonné de l’efficacité énorme que peuvent avoir de petites actions et interventions sur la création de valeur. »
Pourquoi « Value Enhancement » ?
Méthodologie Value Enhancement : 5 avantages
- Se base sur des faits et des données mesurables
- Pratique, pragmatique & concret
- Rassemble des expertises (non disponibles en interne)
- Approche prouvée
- Risques partagés (obligation de résultats BDO)
Des questions à propos de notre méthodologie Value Enhancement ? Besoin d’aide pour analyser votre situation ? Contactez les experts de notre équipe Value Enhancement : value.enhancement@bdo.be ou consultez notre vidéo.